« Republicano, mi Rey … »
Je n’ai pas connu mon grand-père maternel : Francisco Gomez. Comme son nom l’indique, il était d’origine espagnole, de la région de Valence. Ce que je sais de lui m’a été
Dans cette rubrique , nous avons voulu faire connaître ceux qui, dans les coulisses et où qu’ils soient, font vivre cette diversité culturelle. Cette catégorie inclut les manifestations musicales qui ont eu lieu à la « Voix du griot » par la complicité d’Esther Marty-Kouyaté sous l’appellation de « Voix de la diversité » mais aussi plus généralement les concerts que nous nous avons organisés. Cette rubrique inclut également les captations faites à la suite de nos cine-rencontres mais plus encore les entretiens exclusifs réalisés avec des acteurs de la diversité culturelle pour notre chaîne Youtube. Enfin s’y ajoutent des enregistrements réalisés durant des rencontres publiques autres que celles que nous organisons nous-mêmes.
Je n’ai pas connu mon grand-père maternel : Francisco Gomez. Comme son nom l’indique, il était d’origine espagnole, de la région de Valence. Ce que je sais de lui m’a été
Il s’appelait Antonin, né dans l’Allier, à Montluçon. Il est arrivé à Paris à 20 ans, en 1882 ; c’était mon arrière-grand-père. Sa fille aînée, ma grand-mère, était fière de
Je suis en France depuis presque vingt ans maintenant. Je suis venu de l’Angleterre. Au début, c’était dans le cadre de mes études, une année comme « assistant d’anglais »,
Né à Rabat le 29 mai 1940, après avoir fait mes études au collège, j’ai dû quitter le Maroc en 1956. Etant israélite, j’ai dû partir au Brésil où je
Dans le cadre de la seconde réédition de « mon voisin est un artiste », l’ODC présente Valentin Marceau qui nous fera découvrir son premier cd solo « A nos amours ». Cette soirée
De la province vers la ville. C’est ce qui m’a interpellé. Je viens d’accompagner un copain d’enfance de mon mari (ils ne s’étaient pas vus depuis 30 ans), originaire de
Toute ma famille paternelle racontait que cette ville avait perdu tout son passé, puisque rasée pendant la 2ème guerre mondiale et que, de toute manière, c’était une « petite
« Partir, c’est mourir un peu » disait le poète. Mon histoire commence par des lettres sur papier bible que ma mère me lisait dans le terrain vague en face
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